vendredi, février 29, 2008

Ben ça alors...

Ils sont vraiment forts, ces Norvégiens...
D'abord, il fait beau, et même pas froid, je ne sais pas que faire de tous les pulls et damarts que j'ai amenés.
Ensuite, Oslo, c'est tout de même drôlement sympathique; les gens sont relax, personne ne râle, on ne voit pas de flics, il y a de jolies couleurs et des tramways partout, la mer et des bateaux en bois, bref c'est plus que charmant.
Hâte de sortir un peu ce soir... Il paraît que c'est comme en Angleterre, mais en pire; c'est toujours rassurant de se sentir dépassée par la situation.
Et sinon, nous avons, l'autre jour, laissé la fenêtre du rez-de-chaussée entrouverte, comme le fait Nabou habituellement. Petite visite d'un inconnu dans la journée visiblement. Ben on se rend compte que l'on est en Norvège lorsque le type laisse deux ordis, deux ipods, un appareil photo, télé, chaîne etc... mais se fait chier à déballer mon sac à dos pour embarquer ma cartouche de clopes.
Trop forts, on vous dit.

PS: Ah, et à part ça, la bière est très bonne, et tout le monde en boit à n'importe quelle heure de la journée ('achement plus tôt que moi!). Et ça, c'est un signe qui ne trompe pas: "la bière est la preuve que truc existe et que ça nous aime".

PS 2: Mince alors, si le vendredi soir commence à 16h30...

dimanche, février 24, 2008

Bonzour

Je ne résiste pas...
J'avais une gueule de bois monumentale, je pensais aux veaux, vaches, cochons que je pourrais me faire si seulement j'arrivais à aligner trois mots et finir mon boulot pour demain.
Merci, merci et encore merci, ô cher président, pour toutes ces conneries que tu peux dire et qui me font parfois penser que même avec les deux neurones qui me restent lorsque je suis dans cet état, je suis toujours moins bête que toi...

mercredi, février 20, 2008

I had a dream...


L'autre nuit, j'ai fait un très long rêve très bizarre.
Ca commençait bien évidemment au pub, qui n'était plus un pub mais un PMU (mais bon, moi je savais que c'était le pub, hein, c'est ça qui est bien avec les rêves), fallait sortir pour fumer (comme quoi, on s'habitue à tout...), du coup (me demandez pas le pourquoi de ce rapport cause-conséquence, mais c'en était un), y'avait baston dans la rue, un monsieur qui se faisait planter et du sang partout, mais tout le monde avait l'air de trouver ça normal.
Après, je partais en mission droits de l'homme à Niamey, Niger (je ne devrais jamais me réveiller....), et on commençait par visiter l'hôpital, qui ressemblait à mon ancien collège. C'était cool, je connaissais tous les médecins, vu que c'était tous les futurs S de ma classe de seconde, et qui me demandaient pourquoi je n'avais pas fait médecine (mon grand regret, ndlr). Un des types me soutenait mordicus que si, si, lui aussi était dans ma classe, mais j'étais bien embêtée parce sa tête ne me disait rien; il avait de gros yeux verts globuleux qui partaient dans tous les sens et je ne savais plus de quel côté suivre son regard.
Puis l'hôpital était en fait le palais présidentiel de Niamey, je faisais un petit roupillon dans les salons, et là pan au réveil: du monde partout, une jolie potence, et cinq condamnés qui se faisaient très proprement exécuter, ça avait l'air pas sympa du tout; et mon chef de mission râlait parce que tout ça, ce n'était pas prévu, et que ça allait faire du boulot en plus pour l'intégrer au rapport.
Après, je rentrais à Berlin (?; ah si, je lis en ce moment le premier roman d'un monsieur qui était au lycée avec moi et qui se passe à Berlin, mais ça ce sera pour un prochain post), sauf que Berlin, c'était Venise, avec des canaux partout, des bateaux dans les rues avec des chevaux dessus, et des maisons les pieds dans l'eau. En fait, c'était la maison de ma mère et de Guerrier Musclé, un des héros de Gantz (un manga très très bien dont je vous recommande la lecture).
Bon, Guerrier Musclé, il était toujours aussi costaud, mais c'était un peu la loose, il était au chomdu, et il commençait le jour même comme conducteur de bus. Sauf qu'il ne connaissait pas Berlin, je me retrouvais au volant (y'avait plus d'eau) et c'était pas facile. Trois poussettes renversées plus loin, on était paumés, Guerrier Musclé reprennait les choses en main, et nous paumait un peu plus.
Du coup, ce con se retrouvait au bord du Mississippi, et devait se battre contre un crocodile qui le suivait jusqu'à la maison (à Berlin, donc. Vous suivez?), où le bestiau devenait invisible mais coursait Le Chat qui trouvait que vraiment, tout ça, ça commençait à bien faire.

Réveil.

Me demande ce qu'un psy en dirait, mais moi il m'a fait poiler, ce rêve...

Sinon, hier soir, j'ai assisté, pour le boulot, à un conseil communautaire dans le nord de Paris, et franchement, chapeau bas aux mairies de gauche.
I had a dream....

mercredi, février 13, 2008

Il est neuf or!


Je profite de me réveiller "tôt" et de n'en être toujours pas revenue -et donc, de n'avoir pas encore passé en revue les journaux- pour faire un post apolitique et surtout a-bling bling. Et pour formuler le voeu pieux de ne pas inclure de référence présidentiellement pronominable jusqu'à, allez, au moins la semaine prochaine, dûssé-je me lever tous les jours pour le relevé de mon compteur électrique.
A ce propos, c'est rigolo, c'est fou comme EDF s'est renouvelé. D'habitude, c'est un monsieur entre deux âges avec une salopette grise peu disert; ils sont passés au lycéen (allez, au mieux, première année de DEUG; de lettres) tellement survolté et souriant que ça vous ferait presque vous faire sentir minable d'être encore au lit à cette heure-là. Même le Chat était toute perturbée.
Ca m'a rappelé que de 3 à 18 ans, je me levais tous les jours ou presque à 7h30, comme tous les écoliers. Si j'ai pu réussir à faire un truc pareil pendant si longtemps sans trop me poser de questions, et que ce matin je n'ai même pas mal à la tête, ça va être une bonne journée. CQFD.

mardi, février 12, 2008

Là où qu'y a d'la gêne....

Et merde, nan mais faut qu'il arrête, j'avais pas envie de parler que de ça moi, sur ce blog. Mais là, je ne résiste pas non plus, merci Yojik....

lundi, février 04, 2008

La photo qui tue....


Merci Libé...