mercredi, juin 20, 2007

It is not the whip they fear...



LIBERATION.FR : mercredi 20 juin 2007

«J'étais en retard, j'ai donc monté les escaliers quatre à quatre», a raconté à des journalistes Nicolas Sarkozy à propos des images diffusées sur internet et abondamment commentées de son arrivée à une conférence de presse au G8 après un entretien avec Vladimir Poutine.

Selon le récit rapporté par Le Parisien/Aujourd'hui en France et Europe 1, Nicolas Sarkozy affirme n'avoir découvert ces images que lundi, en famille (ben tiens... Dans ce cas, il a intérêt à limoger direct ses petits camarades du service audiovisuel de l'Elysée... Rigolo de voir que les photos officielles ne montrent que Merkel, que notre président est au premier plan de la "photo de famille" -allez zou, les petits, devant!- et les regards en coin de Cécilia -"mais qu'est-ce qu'il peut me gonfler!").

L'extrait, mis en ligne le 8 juin, montre le début de la conférence de presse de Sarkozy le 7 juin après un entretien avec le président russe, lors du sommet du G8 de Heiligendamm (Allemagne). Le président français arrive visiblement essoufflé et semble réprimer un rire, suscitant un débat sur un éventuel état d'ébriété.

Le quotidien et la radio rapportent que son épouse Cécilia et deux de leurs enfants regardaient la vidéo «hilares» (hihihihihihi, tu m'étonnes.... ça m'étonnerait que la première dame de France soit privée d'accès à internet...).

Dans des propos rapportés par Le Parisien/Aujourd'hui en France, le président donne sa version: «J'étais en retard, j'ai donc monté les escaliers quatre à quatre. Je n'avais rien de particulier à dire (c'est sûr, la Russie, une fois qu'on a prononcé le mot de "Tchétchénie" -mais pas plus hein- et qu'on a "évoqué" la journaliste, là, qu'est-ce qui reste???!!!). J'ai donc demandé s'il y avait des questions. Je ne bois pas une goutte d'alcool. Je n'ai pas de mérite : je n'aime pas cela» (mais quand Vlad' insiste en disant que chichi, lui, il sacrifiait à cette petite tradition, faut ce qu'il faut).

Libération / AFP

Bref, que du bonheur. Personnellement, je préfère dire que j'avais un coup dans le nez plutôt que d'avouer que je n'étais pas préparée ou que j'avais oublié mes fiches... Mais s'il insiste...

dimanche, juin 10, 2007

Peccap'


"Et on a évoqué, heu, ben, euh, la Tchétchénie, et puis euh... la journaliste, là" et merde c'est quoi son nom déjà?!
Ben voui, Chichi doit bien rigoler, parce qu'alors lui, s'il y a un truc qu'on ne peut pas lui retirer, c'est que la vodka de Vladimir, il la tenait, lui.
Sans oublier ses petites fiches.
Anna Politkovskaya, Nicolas, Anna Politkovskaya, qu'elle s'appelait, LA journaliste. La seule de Russie, hein, parce qu'il ne faudrait quand même pas qu'on puisse penser que les autres ont des problèmes aussi...
C'est du joli...

samedi, juin 02, 2007

Hihihihihi


Voilà, je devais travailler, et puis François m'a montré un jeu fantastique.
Il ne reste que trois minutes avant que l'irish pub ne ferme, et il faut s'enfiler le maximum de shots de whisky possible, en tenant compte du fait que l'on tangue de plus en plus et que l'on se casse la gueule du tabouret (10 chutes autorisées seulement).
Bref, y'a de la gite, mais je ne m'en suis pas si mal sortie que ça.
Essayez donc....

Maîtresse indigne


Ben voui... Bon, après avoir tapissé toute la rue de jolies petites affiches -même les voisins se foutent de ma gueule-, en fait, elle n'est pas loin. Juste dans la cour. Sans vouloir rentrer.
Chacun cherche son chat.
Pfff...